Le risque est faible. Les personnes âgées de plus de 60 ans, souffrant d'une maladie sous-jacente ou dont le système immunitaire est affaibli ont un risque plus élevé de contracter la forme la plus grave du virus du Nil occidental.
Les mesures de précaution suivantes sont recommandées :
Si vous avez visité une zone de transmission de la fièvre du Nil occidental, vous ne devez pas donner votre sang pendant au moins 28 jours après votre retour.
Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.
Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.
Les voyageurs doivent être immunisés contre la varicelle. Les personnes âgées de 13 mois à 39 ans qui n'ont pas encore eu la varicelle et qui n'ont pas reçu 2 doses de vaccin contre la varicelle devraient recevoir une vaccination (2 doses avec un intervalle minimum de 4 semaines), vois plan de vaccination suisse, LIEN.
EKRM_Factsheet_Layperson_FR_TBE.pdf
EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf
EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Malaria.pdf
EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf
Toute fièvre pendant ou après un séjour en zone d’endémie du paludisme est une urgence absolue ! Un diagnostic et un traitement précoces sont nécessaires, car la santé des personnes atteintes de paludisme peut se détériorer très rapidement. Ainsi, en cas de fièvre supérieure à 37,5° (mesurée avec un thermomètre), il est primordial de confirmer un diagnostic de paludisme par une analyse sanguine dans les 24 heures, que vous ayez pris un traitement prophylactique ou non. Rendez-vous chez un médecin ou dans un hôpital en mesure de réaliser ce type d’analyse. Si l’analyse se révèle négative et que la fièvre persiste, il est nécessaire de répéter une analyse le lendemain.
Le paludisme peut être traité efficacement, mais sans traitement, la maladie peut rapidement engendrer des complications et s’avérer mortelle. Les personnes ayant déjà eu le paludisme par le passé ne sont pas protégées d’une infection ultérieure.
La prévention du paludisme passe par la combinaison de plusieurs approches :
À ce jour, il n’existe aucun vaccin contre le paludisme pour les voyageurs.
Il existe un risque de maladies transmises par des arthropodes autres que le paludisme, la dengue, le chikungunya ou le zika dans les régions subtropicales et dans certaines régions d'Europe du Sud. Il s'agit notamment des maladies suivantes [et de leurs vecteurs] :
EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf
Important : une IST peut se manifester sans symptômes ou seulement avec des symptômes légers. Même si vous n'en êtes pas conscient, vous pouvez infecter d'autres personnes. C'est pourquoi il est important de se faire dépister.
Provoquées par des bactéries ou des parasites
Toutes ces maladies peuvent être soignées. Il est important de faire le test à temps et de traiter immédiatement afin d'éviter les complications et surtout d'autres transmissions.
Provoquées par des virus
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