On 4 September 2025, an Ebola virus disease (EVD) outbreak caused by the Zaire ebolavirus species was declared in the Kasai Province, Bulape Health district, with at least 42 cases reported (including 20 cases laboratory-confirmed cases ); 16 people have died (CFR 38%), including 4 health care workers. This is the 16th Ebola outbreak in the Democratic Republic of Congo (DRC).

The first known index case was a pregnant woman who presented at Bulape General Reference Hospital on 20 August 2025 with symptoms of high fever, bloody diarrhoea, haemorrhage and extreme weakness. She died on 25 August from multiple organ failure. The source of acquisition is unknown.

The affected region, located several hundred kilometers south of Kinshasa, is difficult to raccess due to poor road infrastructure. International organisations have arrived on site. Containment efforts are currently complicated by unsafe burial practices and limited contact tracing (currently only about 19%), as people are fleeing to other areas. For details, see references below.

The last EVD outbreak documented in the DRC was in August 2022, in Beni Health Zone, North Kivu province, but concerned only one case. In the same year, other five cases had been reported from Mbandaka city, Equateur province. In 2007 and 2008, there were EVD outbreaks affecting Kasai province, including the Bulape and Mweka health zones in 2007. In the country overall, there have been 15 outbreaks since the disease was first identified in 1976.

Map of affected health zone, as of 4 September 2025:

More than 1’300 hepatitis A cases have been reported in 2025, including two deaths. The largest numbers of cases have been recorded in Prague (436), Central Bohemia (202), and the Moravian-Silesian Region (118).

The outbreak is most pronounced among young children in socially excluded communities, but cases are also occurring among homeless people and residents of hostels and similar facilities.

Also neighboring countries see an increase of hepatitis A cases, see EpiNews 24.7.2025.

• Depuis fin juillet 2025, le ministère sud-africain de la Santé signale plus de 30 cas de rougeole par semaine, ce qui indique une augmentation continue des taux d'infection.
  
• Depuis le début de l'épidémie en janvier 2025 et jusqu'au 22 août, 741 cas de rougeole confirmés en laboratoire ont été documentés, soit environ le double de l'incidence habituelle.
  
• La grande majorité de ces cas (503) ont été recensés dans la province de Gauteng et concernaient principalement des enfants de moins de 14 ans.
  

À l'heure actuelle, plusieurs pays à travers le monde signalent des épidémies de rougeole.

Un homme de 68 ans originaire de Tonila, dans l'État de Jalisco, a contracté la rage en mai 2025 après avoir été mordu par une vache.

En 2024, la rage a été confirmée chez 257 bovins, 14 chevaux, 6 moutons, 1 chèvre, 23 chauves-souris hématophages , 3 chauves-souris insectivores et 1 chauve-souris frugivore.

Le 29 août 2025, le département de la santé de la ville de New York a annoncé que le foyer communautaire de légionellose dans le quartier de Central Harlem avait pris fin. Au total, 114 cas de légionellose ont été recensés dans ce foyer; 90 personnes ont été hospitalisées; six restent hospitalisées; et sept personnes sont décédées.

Une épidémie de rougeole dans l'est de Java, en Indonésie, a causé 17 décès, principalement parmi les enfants, dont 16 dans le district de Sumenep. Selon les médias, 16 des personnes décédées n'étaient pas vaccinées et une n'avait pas terminé la série de vaccins.

Au 17 août 2025, 2’035 cas avaient été signalés à Sumenep depuis le début de l'année 2025, touchant principalement des enfants de moins de sept ans.

Des épidémies de rougeole sont actuellement signalées dans plusieurs pays à travers le monde.

Selon les médias, deux touristes russes ont été diagnostiqués avec une infection au virus Chikungunya après leur retour du Sri Lanka.

Le 22 août 2025, la FDA américaine (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) a suspendu l'autorisation du vaccin vivant atténué IXCHIQ de Valneva Austria GmbH.

Ce vaccin avait initialement été approuvé par la FDA en novembre 2023 dans le cadre d'une procédure d'autorisation accélérée pour la prévention des maladies causées par le virus Chikungunya (CHIKV) chez les personnes âgées de 18 ans et exposées à un risque accru d'exposition au CHIKV. La décision de la FDA repose sur de sérieuses préoccupations en matière de sécurité liées au vaccin, qui semble provoquer une maladie similaire au chikungunya chez les personnes vaccinées. Un décès dû à une encéphalite directement attribuable au vaccin a été signalé, ainsi que plus de 20 effets indésirables graves et 3 décès. De plus, l'utilité clinique du vaccin n'a pas encore été démontrée dans des essais cliniques confirmatoires. Pour ces raisons, l'autorité estime que ce vaccin n'est pas sûr et que sa poursuite d'administration à la population constituerait un danger pour la santé.

• Les médias locaux font état d'une épidémie de chikungunya à Chittagong, la deuxième plus grande ville du Bangladesh, avec environ 2’100 cas enregistrés entre janvier et mi-août 2025.
• Une forte densité de moustiques et une lutte insuffisante contre ceux-ci aggravent la propagation.