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Conseils médicaux aux voyageurs
Comité d'experts suisse pour la médecine des voyages

 

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Corée du Sud

Latest News

Informations générales

  • Obtenez une protection vaccinale complète contre le COVID-19 avant le voyage
  • Respectez strictement les recommandations et les règlements du pays visité
  • Vérifiez les conditions d'entrée dans le pays de destination: voir la carte des règlements de voyage COVID-19 régulièrement mise à jour par l'IATA: (LIEN) ou par HUG (LIEN)
  • Vérifiez les exigences de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) pour le retour en Suisse depuis votre destination (voir LIEN)

Vaccinations pour tous les voyageurs

 
Risk Area
Factsheet
Flyer
SOP
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Dans tout le pays
 
 
 
 

 
Recommandation
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs se rendant dans des pays tropicaux ou subtropicaux.
 

  • L'hépatite A est une infection du foie causée par un virus. Elle est également connue sous le nom de jaunisse.
  • Le virus se transmet facilement par des aliments ou de l'eau contaminés, mais il peut aussi être transmis par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin fiable et très efficace qui offre une protection de longue durée.
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs qui se rendent dans des pays tropicaux ou subtropicaux, ainsi que pour les groupes à risque.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Hepatitis-A.pdf

  • L'hépatite A est une infection du foie causée par un virus.
  • Le virus se transmet facilement par des aliments ou de l'eau contaminés, mais il peut aussi être transmis par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin fiable et très efficace qui offre une protection de longue durée.
  • La vaccination contre l'hépatite A est recommandée pour tous les voyageurs qui se rendent dans des pays tropicaux ou subtropicaux, ainsi que pour les groupes à risque.
L'hépatite A est causée par un virus très contagieux qui affecte le foie. Elle est également connue sous le nom de jaunisse. L'hépatite A est très fréquente chez les voyageurs non vaccinés.

L'hépatite A est présente dans tous les pays du monde, mais le risque d'infection est plus élevé dans les pays où les normes d'hygiène sont insuffisantes. Il existe un risque élevé dans la plupart des pays tropicaux et subtropicaux, ainsi que dans certains pays d'Europe de l'Est et du bassin méditerranéen.

Ces dernières années, on a également constaté une augmentation des cas en Amérique du Nord et en Europe, y compris en Suisse, notamment chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH). Les épidémies dans les pays d'Europe du Nord peuvent également survenir lorsque des enfants non vaccinés sont infectés lors de visites familiales dans des pays tropicaux et subtropicaux. À leur retour, ils peuvent transmettre le virus dans les établissements de soins.

La transmission se fait principalement par l'eau potable ou les aliments contaminés par des matières fécales. Les autres vecteurs de transmission sont les contacts personnels étroits, en particulier les contacts sexuels (sexe anal-oral) ou une hygiène des mains insuffisante.
Plusieurs semaines après l'infection, des symptômes tels que fièvre, fatigue, nausées, manque d'appétit, gêne abdominale et diarrhée peuvent apparaître. Quelques jours plus tard, la peau et les yeux peuvent devenir jaunes (jaunisse). La plupart des symptômes disparaissent après quelques semaines, mais la fatigue peut souvent durer plusieurs mois. Les jeunes enfants présentent généralement peu ou pas de symptômes, mais chez les personnes âgées, la maladie peut être grave et prolongée.
Aucun traitement spécifique n'est disponible. La guérison d'une infection aiguë par l'hépatite A peut prendre plusieurs semaines ou mois et nécessite du repos physique et un régime alimentaire.

Il existe un vaccin sûr et très efficace qui consiste en deux injections à au moins 6 mois d'intervalle. Il offre une protection à vie après la deuxième dose. Le vaccin contre l'hépatite A peut également être administré en association avec le vaccin contre l'hépatite B (3 doses nécessaires).

La vaccination contre l'hépatite A est recommandée à tous les voyageurs se rendant dans des zones à risque, ainsi qu'aux personnes présentant un risque personnel accru : personnes souffrant d'une maladie chronique du foie, hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, personnes consommant ou s'injectant des drogues, personnes ayant des contacts professionnels accrus avec des personnes provenant de zones ou de populations à haut risque, etc.

  • Office fédéral de la santé publique (OFSP). Hépatite A. https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/krankheiten-im-ueberblick/hepatitis-a.html 
  • Hépatite Suisse: https://fr.hepatitis-schweiz.ch/tout-sur-hepatite/hepatite-a 
  
 
 
 
 

 
Recommandation
Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base selon le plan de vaccination suisse, LIEN.
 

Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Tous les voyageurs devraient être à jour avec la vaccination de base et les rappels selon le plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Mondiale
  
 
 
 
 

 
Recommandation

Les voyageurs doivent être immunisés contre la varicelle. Les personnes âgées de 13 mois à 39 ans qui n'ont pas encore eu la varicelle et qui n'ont pas reçu 2 doses de vaccin contre la varicelle devraient recevoir une vaccination (2 doses avec un intervalle minimum de 4 semaines), vois plan de vaccination suisse, LIEN.

 

Vaccinations pour certains voyageurs

 
Risk Area
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  • L'hépatite B est une infection virale du foie qui se transmet par du sang contaminé ou par contact sexuel.
  • Il existe un vaccin sûr et très efficace qui offre une protection à vie.
  • La vaccination contre l'hépatite B est recommandée pour tous les jeunes et les voyageurs à risque, en particulier si :
    • Vous voyagez régulièrement ou passez de longues périodes à l'étranger.
    • Il existe un risque de rapports sexuels non protégés.
    • Vous êtes susceptible de subir un traitement médical ou dentaire à l'étranger, ou d'entreprendre des activités qui peuvent vous exposer au risque de contracter l'hépatite B (tatouages, piercing, acupuncture dans des conditions non sécurisées).
Under construction
Dans tout le pays
 
 
 
  • La rage se transmet principalement par les chiens (et les chauves-souris), mais n’importe quel mammifère peut transmettre le virus.
  • Dès la survenue des symptômes, l’évolution de la rage est fatale.
  • La meilleure prévention contre la rage est d’être vacciné et d’adopter un comportement approprié envers les mammifères.
  • La vaccination avant le voyage est recommandée parce que les vaccins et les immunoglobulines peuvent être difficile à obtenir dans de nombreux pays de destination. La vaccination avant le voyage est particulièrement recommandée en cas de
    • séjours de longue durée dans des pays endémiques,
    • voyages courts présentant un risque individuel élevé, notamment voyages à deux roues ou randonnées dans des zones reculées, bébés et enfants de moins de 8 ans,
    • professionnels travaillant avec des animaux ou spéléologues (chauves-souris !),
    • pour plus de détails, voir la SOP vaccination rage (disponible uniquement sur HealthyTravel PRO).
  • Attention : une morsure, une griffure ou un contact avec la salive d'un mammifère est une urgence ! Informez-vous ci-dessous sur les mesures à prendre!

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Rabies.pdf

Cette fiche d'information contient des renseignements importants sur la rage. Pour une préparation optimale de votre voyage, nous vous recommandons de lire attentivement ces informations et d'emporter la fiche d'information lors de votre voyage !
  • La rage se transmet principalement par les chiens (et les chauves-souris), mais n’importe quel mammifère peut transmettre le virus.
  • Dès la survenue des symptômes, l’évolution de la rage est fatale.
  • La meilleure prévention contre la rage est d’être vacciné et d’adopter un comportement approprié envers les mammifères.
  • La vaccination avant le voyage est recommandée parce que les vaccins et les immunoglobulines peuvent être difficile à obtenir dans de nombreux pays de destination. La vaccination avant le voyage est particulièrement recommandée en cas de
    • séjours de longue durée dans des pays endémiques,
    • voyages courts présentant un risque individuel élevé, notamment voyages à deux roues ou randonnées dans des zones reculées, bébés et enfants de moins de 8 ans,
    • professionnels travaillant avec des animaux ou spéléologues (chauves-souris !).
  • Attention : une morsure, une griffure ou un contact avec la salive d'un mammifère est une urgence ! Informez-vous ci-dessous sur les mesures à prendre!
La rage est une maladie mortelle transmise par la salive ou d’autres fluides corporels de mammifères infectés.
Les chiens sont responsables de plus de 95 % des cas humains. Les chauves-souris, les chats et (rarement) les singes et autres mammifères peuvent aussi transmettre la rage. Les régions les plus à risque sont l'Asie, l'Afrique et certains pays d'Amérique latine (p. ex. la Bolivie). La rage peut survenir partout dans le monde, sauf dans les pays où elle a été éradiquée avec succès.
La salive des animaux infectés pénètre dans le corps humain par la peau lésée, soit par des morsures ou des griffures, soit en léchant des zones de peau déjà lésées. Une fois que le virus de la rage a pénétré dans le corps par la lésion cutanée, il se déplace le long des fibres nerveuses en direction du cerveau. Dans la plupart des cas, cette migration prend plusieurs semaines à mois, et ne présente aucun symptôme accompagnant.
Les symptômes n'apparaissent généralement que lorsque le virus a atteint le cerveau. Dans la plupart des cas, cela se produit après 2 à 12 semaines (fourchette : 4 jours - plusieurs années !) et se manifeste par une encéphalite (inflammation du cerveau) qui, dans 99,99% des cas, est mortelle en l'espace de quelques semaines. Dès que les symptômes de l'encéphalite apparaissent, l'évolution fatale ne peut plus être évitée.

Il n’existe aucun traitement contre la rage.

Mesures post-exposition : Nettoyer immédiatement la plaie avec beaucoup d’eau et du savon pendant 10 à 15 minutes, appliquer du désinfectant (p.ex. Bétadine®, Merfen®) et se rendre en urgence (dans les 24h) auprès d’un centre hospitalier pour démarrer la vaccination post-exposition. Un vaccin antitétanique de rappel est également indiqué. Pour les personnes ayant reçu une vaccination contre la rage avant de voyager (préexposition), il est suffisant de recevoir deux doses supplémentaires (de n’importe quelle marque disponible) à 3 jours d’intervalle. En cas d’absence de vaccination préexposition complète, il est nécessaire de recevoir - en plus de la vaccination post-exposition - des immunoglobulines à titre d’immunisation passive. Il convient de noter que les immunoglobulines (et parfois, les vaccins) sont souvent indisponibles dans les milieux à faibles ressources, ce qui est source de stress et d’insécurité.

Caresser des animaux n’est pas une bonne idée. Évitez de toucher des animaux sauvages, inconnus, voire morts.

Vaccination préexposition : Les voyageurs qui sont susceptibles d'effectuer des voyages répétés dans des endroits où la rage existe devraient se faire vacciner avant le voyage (préexposition). De plus, la vaccination préexposition est fortement recommandée pour les voyages à risque :

  • séjours de longue durée dans des pays endémiques,
  • voyages courts présentant un risque individuel élevé, notamment voyages à deux roues ou randonnées dans des zones reculées, bébés et enfants de moins de 8 ans,
  • professionnels travaillant avec des animaux ou spéléologues (chauves-souris !).

Un schéma vaccinal court peut être proposé à la plupart des voyageurs : 2 injections, la première à un mois du départ si possible (minimum : 8 jours avant le départ). Un rappel est recommandé avant le prochain voyage, à un an d’intervalle minimum.

  • Il est recommandé d’obtenir les informations sur la prévention de la rage avant de voyager.
  • En cas de voyage de plusieurs semaines ou à risque particulier, programmez un rendez-vous au centre de médecine des voyages 4 semaines avant le départ au plus tard.
  • Après une éventuelle exposition (morsure, griffure), le nettoyage et désinfection de la plaie et la vaccination sont requis, même pour les personnes vaccinées avant le voyage.
  • Imprimez cette fiche d’informations et gardez-la à portée de main pendant votre voyage !
  • OFSP Suisse (allemand): https://www.bag.admin.ch/dam/bag/de/dokumente/mt/infektionskrankheiten/tollwut/bag-bulletin-15-2021-tollwut-prep-und-pep.pdf.download.pdf/210412_BAG_Bulletin_15_2021_Tollwut%20PrEP%20und%20PEP_d.pdf 
  • OFSP Suisse (français): https://www.bundespublikationen.admin.ch/cshop_mimes_bbl/14/1402EC7524F81EDBA5D6C3EBC18BA9FB.pdf
Mondiale
  
 
 
 

 
Recommandation

Recommandation de vaccination selon l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), voir LIEN.

Condition d'entrée pour certains pays, voir LIEN IATA et LIEN HUG.

 

  • Le Covid-19 est une maladie qui touche l'ensemble du corps, mais qui se manifeste principalement par des symptômes respiratoires tels que la toux et des difficultés à respirer. Elle est causée par le virus SRAS-CoV-2.
  • L'infection se propage principalement par des gouttelettes respiratoires et éventuellement des aérosols lorsque les personnes infectées toussent, éternuent, parlent ou chantent sans porter de masque.
  • L'infection peut être prévenue très efficacement par la vaccination et un nombre croissant de vaccins sont désormais approuvés et disponibles pour la protection.
  • La vaccination est recommandée selon les recommandations suisses de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), voir LIEN.
  • En outre, la prévention repose en grande partie sur le port de masques, l'hygiène des mains et la distance physique (au moins 1.5 m) si les masques ne sont pas portés et si les personnes ne sont pas vaccinées.
Pour plus d'informations, voir le LIEN de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP)
Dans tout le pays
  
 
 
 
  • La grippe est courante dans le monde entier, y compris dans les pays subtropicaux et tropicaux.
  • La vaccination offre la meilleure protection. 
  • La vaccination contre la grippe est recommandée pour tous les voyageurs appartenant à un groupe "à risque", comme les femmes enceintes, les voyageurs souffrant de maladies concomitantes, les personnes âgées (>65 ans), ou pour certains voyages à risque particulier (ex: croisière, pèlerinage).
  • Le vaccin contre la grippe n'offre pas de protection contre la grippe aviaire.
Under construction

Dans tout le pays

Transmission : Mai à octobre

 
 
  • L'encéphalite japonaise est une infection virale qui est endémique en Asie du Sud et du Sud-Est et dans la partie la pointe nord de l'Australie.
  • Le virus provoque une infection du cerveau.
  • Le risque d'encéphalite japonaise est très faible pour les voyageurs.
  • Les mesures de prévention des piqûres de moustiques le soir et la nuit sont fortement recommandées.
  • Il existe un vaccin sûr et efficace qui est recommandé aux voyageurs à risque, tels que
    • Travail / activités de plein air étendues dans les zones rurales
    • Séjours de longue durée (>4 semaines) ou pendant une épidémie en cours
    • Pour plus de détails, voir SOP vaccination encéphalite japonaise (disponible uniquement dans HealthyTravel PRO)

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Japanese-Encephalitis.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

CDC Carte: Geographic Distribution of Japanese Encephalitis Virus
  • Maladie virale transmise par les moustiques qui piquent la nuit dans les zones rurales et suburbaines.
  • Très rare chez les voyageurs.
  • Le plus souvent bénigne ou sans symptômes ; la maladie grave est rare mais sa mortalité est élevée.
  • Un vaccin est disponible pour les personnes présentant un risque accru, comme les voyageurs de longue durée dans les zones endémiques.
L'encéphalite japonaise est causée par le virus de l'encéphalite japonaise (VEJ), un flavivirus, qui est propagé par les moustiques. Les épidémies d'encéphalite japonaise ont été décrites pour la première fois au Japon à partir des années 1870. Il s'agit de la principale cause d'encéphalite virale dans la région Asie-Pacifique.
Le VEJ est endémique dans les régions tropicales de l'Asie de l'Est et du Sud et dans les régions du Pacifique occidental. Des épidémies sont déclarées dans ces régions dans les zones climatiques subtropicales et tempérées. En 2016, un premier cas humain autochtone a été signalé en Angola, en Afrique. Le virus existe naturellement dans un cycle de transmission entre les moustiques, les porcs et les oiseaux aquatiques. Les oiseaux peuvent être responsables de la propagation du VEJ à de nouvelles zones géographiques. Les humains s'infectent principalement dans les zones rurales ou suburbaines, lorsqu'ils séjournent à proximité de porcs.
Le VEJ est transmis par la piqûre de moustiques Culex femelles (principalement Culex tritaeniorrhynchus), qui sont actifs toute la nuit, à l'intérieur et à l'extérieur. Pour la plupart des voyageurs en Asie, le risque est très faible, mais il varie en fonction de la destination, de la saison, de la durée du voyage et des activités.
La plupart des personnes infectées sont asymptomatiques ou ne présentent que des symptômes légers de fièvre et de maux de tête. Environ 1/250 personnes développent des symptômes graves après 4 à 14 jours d'infection, lorsque l'infection se propage au cerveau, caractérisés par l'apparition brutale d'une forte fièvre, de maux de tête, d'une raideur de la nuque, d'une désorientation, d'un coma, de convulsions et d'une paralysie. Une personne sur trois développe des symptômes graves et meurt. Des séquelles permanentes, telles que des changements de comportement, une faiblesse musculaire ou des crises récurrentes, apparaissent chez 30 à 50 % des personnes atteintes d'encéphalite.
Le diagnostic peut être confirmé par une sérologie dans le liquide céphalo-rachidien et le sérum. Les anticorps IgM deviennent généralement détectables 3 à 8 jours après l'apparition des symptômes.
Il n'existe pas de traitement antiviral spécifique. Le traitement consiste en des soins de soutien pour soulager les symptômes.
Prévention des piqûres de moustiques du crépuscule à l'aube (les Culex sont actifs pendant la nuit) : dormir sous une moustiquaire ou dans une pièce climatisée ; appliquer des répulsifs sur la peau exposée ; porter des vêtements longs ; traiter les vêtements avec un insecticide. La vaccination est recommandée aux voyageurs présentant un risque accru d'infection (voyages prolongés dans des régions endémiques, voyages pendant la saison de transmission du VEJ, séjours dans des zones rurales, en particulier près de rizières ou d'élevages de porcs, et participation à des activités de plein air). Le vaccin inactivé IXIARO® est administré en deux doses avant le voyage (idéalement espacées de 28 jours, bien que la seconde dose puisse être administrée dès 7 jours après la première). En cas de risque continu, une dose de rappel peut être administrée après 15 mois. Pour les enfants de 12 mois à 18 ans, l'utilisation est "hors indication". Les réactions au vaccin sont généralement légères et peuvent inclure une douleur et une sensibilité au point d'injection, des maux de tête, des douleurs musculaires et une faible fièvre.
  • Fiche d'information de l'OMS sur l'encéphalite japonaise : https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/japanese-encephalitis
  • Solomon et al., Japanese Encephalitis, BMJ 2000 : https://jnnp.bmj.com/content/jnnp/68/4/405.full.pdf
  • CDC Japanese Encephalitis : https://www.cdc.gov/japaneseencephalitis/index.html 

Malaria

 
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Paludisme - Carte du monde
 

 
Risque faible
  • De mars à décembre: Bandes au nord, le long de la frontière avec la Corée du Nord.

Prévention: Protection contre les moustiques

Demandez à un spécialiste de la médecine des voyages s'il est nécessaire d'emporter un médicament pour l'autotraitement d'urgence du paludisme.

 

 
Risque minime
  • De mars à décembre: au nord régions (rurales) des provinces de Incheon, Kangwon-Do, Kyonggi-Do.

Prévention: Protection contre les piqûres de moustiques

 

  • Le paludisme (malaria) est une infection parasitaire potentiellement mortelle, transmise la nuit par des piqûres de moustiques.
  • Il convient de veiller particulièrement à se protéger contre les moustiques, du crépuscule à l’aube, dans les zones à risque.
  • Dans les zones à haut risque, la prise d’un traitement préventif (prophylaxie) est fortement conseillée.
  • En cas de séjour dans une zone à bas risque : renseignez-vous auprès d’un médecin spécialisé en médecine des voyages s’il est nécessaire d’emporter un traitement d’urgence contre le paludisme.
  • Si vous faites partie d’un groupe à risque (femmes enceintes, enfants en bas-âge, personnes âgées, personnes atteintes de maladies préexistantes ou avec un déficit immunitaire) : consultez un médecin avant votre voyage, le paludisme peut très vite s’aggraver.
  • En cas de fièvre supérieure à 37,5°, mesure prise par voie axillaire ou tympanique (un thermomètre en état de marche est indispensable !), pendant ou après le voyage, rendez-vous immédiatement chez un médecin / hôpital pour faire analyser votre sang ! Cela vous concerne, que vous ayez pris un traitement prophylactique ou non !
  • Pour votre santé, nous vous recommandons fortement de vous informer en détail sur le paludisme et de lire les informations suivantes.

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Malaria.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

  • De mars à décembre: Bandes au nord, le long de la frontière avec la Corée du Nord.

Prévention: Protection contre les moustiques

Demandez à un spécialiste de la médecine des voyages s'il est nécessaire d'emporter un médicament pour l'autotraitement d'urgence du paludisme.

  • De mars à décembre: au nord régions (rurales) des provinces de Incheon, Kangwon-Do, Kyonggi-Do.

Prévention: Protection contre les piqûres de moustiques

2022-07-11_Malaria_World_Map_ADPTD2022_(c)_FR.jpg

Pour votre santé, nous vous recommandons fortement de vous informer en détail sur le paludisme et d'emporter cette fiche d'information lors de votre voyage.
  • Le paludisme (malaria) est une infection parasitaire potentiellement mortelle, transmise la nuit par des piqûres de moustiques.
  • Il convient de veiller particulièrement à se protéger contre les moustiques, du crépuscule à l’aube, dans les zones à risque.
  • Dans les zones à haut risque, la prise d’un traitement préventif (prophylaxie) est fortement conseillée.
  • En cas de séjour dans une zone à bas risque : renseignez-vous auprès d’un médecin spécialisé en médecine des voyages s’il est nécessaire d’emporter un traitement d’urgence contre le paludisme.
  • Si vous faites partie d’un groupe à risque (femmes enceintes, enfants en bas-âge, personnes âgées, personnes atteintes de maladies préexistantes ou avec un déficit immunitaire) : consultez un médecin avant votre voyage, le paludisme peut très vite s’aggraver.
  • En cas de fièvre supérieure à 37,5°, mesure prise par voie axillaire ou tympanique (un thermomètre en état de marche est indispensable !), pendant ou après le voyage, rendez-vous immédiatement chez un médecin / hôpital pour faire analyser votre sang ! Cela vous concerne, que vous ayez pris un traitement prophylactique ou non !
Le paludisme (ou malaria) est une maladie fébrile aiguë potentiellement mortelle causée par un parasite de genre Plasmodium, transmis par des moustiques pendant la nuit (entre le crépuscule et l’aube). Un diagnostic et un traitement précoces sont essentiels pour prévenir les complications, dont le décès, ainsi que pour guérir. Pour prévenir le paludisme, il est important de se protéger des piqûres de moustiques et en cas de séjour en zones à haut risque, de prendre un traitement antipaludique à visée préventive (prophylaxie). Les groupes à risque, tels que les femmes enceintes, les enfants en bas-âge, les personnes âgées ou les voyageurs atteints de maladies chroniques doivent demander conseil auprès d’un spécialiste.
Le paludisme touche principalement les régions tropicales et subtropicales d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud et d’Amérique centrale (voir la carte du paludisme).
Le Plasmodium se transmet à l’humain par la piqûre de moustiques Anophèles, actifs entre le crépuscule et l’aube uniquement. Ils passent parfois inaperçus, car ils sont petits et ne font presque pas de bruit.
En cas de séjour dans une zone endémique, les symptômes apparaissent généralement entre sept jours et un mois après la piqûre, mais ils peuvent aussi survenir plusieurs mois, voire plus d’un an après. Les symptômes sont de type grippal : d’abord de la fièvre, puis éventuellement des maux de tête, des douleurs musculaires, de la nausée et parfois, de la diarrhée ou de la toux. Seule une analyse sanguine peut confirmer le diagnostic.

Toute fièvre pendant ou après un séjour en zone d’endémie du paludisme est une urgence absolue ! Un diagnostic et un traitement précoces sont nécessaires, car la santé des personnes atteintes de paludisme peut se détériorer très rapidement. Ainsi, en cas de fièvre supérieure à 37,5° (mesurée avec un thermomètre), il est primordial de confirmer un diagnostic de paludisme par une analyse sanguine dans les 24 heures, que vous ayez pris un traitement prophylactique ou non. Rendez-vous chez un médecin ou dans un hôpital en mesure de réaliser ce type d’analyse. Si l’analyse se révèle négative et que la fièvre persiste, il est nécessaire de répéter une analyse le lendemain.

Le paludisme peut être traité efficacement, mais sans traitement, la maladie peut rapidement engendrer des complications et s’avérer mortelle. Les personnes ayant déjà eu le paludisme par le passé ne sont pas protégées d’une infection ultérieure.

La prévention du paludisme passe par la combinaison de plusieurs approches :

  1. Se protéger des piqûres de moustiques du crépuscule à l’aube est primordial dans toutes les régions touchées par le paludisme, mais aussi dans les zones où le risque est minime : cela permet de se prémunir d’autres maladies transmises par les moustiques, fréquentes dans les mêmes régions. Les mesures consistent en :
    • Habillement : Portez des hauts à manches longues et des pantalons. Pour plus de protection, imprégnez vos vêtements au préalable avec un insecticide contenant de la perméthrine comme substance active (p.ex. Nobite® Textile).
    • Antimoustiques : Appliquez un antimoustique sur les zones non couvertes du corps plusieurs fois par jour.
    • Chambre à coucher : Dormez dans une chambre climatisée ou sous une moustiquaire imprégnée. À l’intérieur, utilisez des sprays anti-moustiques ; utilisez les spirales à brûler à l’extérieur exclusivement, p.ex. sous une table le soir.
    • Chimioprophylaxie : Selon la région et la saison, il peut s’avérer nécessaire de prendre un traitement prophylactique (préventif). Ceci est recommandé pour toutes les destinations présentant un risque élevé de paludisme (marquées en rouge sur nos cartes). Le traitement se prend au cours d’un repas avant, pendant et après votre séjour. Demandez à votre médecin spécialisé en médecine des voyages si une chimioprophylaxie est requise pour votre voyage, et il vous prescrira le médicament approprié et le bon dosage.
  2. Emporter un traitement d’urgence ou SBET (standby emergency treatment) est recommandé pour certaines situations: séjour dans une région présentant un faible risque de paludisme mais avec structure médicale inexistante ou peu fiable. Demandez à votre médecin spécialisé en médecine des voyages si emporter un SBET est nécessaire dans votre cas, surtout si vous prévoyez de voyager dans un endroit où la présence d’une infrastructure médicale fiable n’est pas assurée.
  3. Chez certains groupes à risque, le paludisme peut rapidement devenir dangereux. Si vous êtes enceinte, voyagez avec des enfants en bas-âge ou si vous êtes une personne âgée ou atteint d’une maladie préexistante, ou encore si vous êtes immunodéprimé, demandez conseil auprès d’un spécialiste en médecine des voyages pour savoir si une chimioprophylaxie est recommandée, même si vous visitez une région à faible risque.

À ce jour, il n’existe aucun vaccin contre le paludisme pour les voyageurs.

  • Emportez un thermomètre en état de marche !
  • Les symptômes du paludisme se manifestent au plus tôt sept jours après l’entrée dans une zone d’endémie. Une fièvre supérieure à 37,5° indique toujours une suspicion de paludisme !
  • En cas de fièvre pendant ou même des mois après un séjour en zone d’endémie :
    • Consultez immédiatement un établissement de santé pour exclure le paludisme par une analyse sanguine.
    • Cette analyse doit être réalisée au maximum 24h après l’apparition de la fièvre, que vous ayez pris un traitement prophylactique ou non !
    • L’analyse devra être effectuée une nouvelle fois en cas de résultat négatif ou peu concluant et si la fièvre persiste ou réapparaît.
  • Pour les personnes ayant séjourné en zone à faible risque et à qui un traitement d’urgence (SBET) a été prescrit:
    • En cas de fièvre : faites immédiatement une analyse sanguine pour le paludisme.
    • Si une analyse sanguine n’est pas possible et que la fièvre perdure plus de 24 heures ou réapparait : prenez le traitement d’urgence, tel que prescrit par votre médecin spécialisé en médecine des voyages.
    • Même si vous avez commencé à prendre votre traitement contre le paludisme : consultez d’urgence un médecin pour diagnostiquer l’origine de votre fièvre.

Autres risques pour la santé

 
Risk Area
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Mondiale
 
 
 
  • Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont un groupe d'infections virales, bactériennes et parasitaires. Si beaucoup sont traitables, certaines peuvent provoquer des complications, des maladies graves ou des infections chroniques.
  • Les IST sont en augmentation dans le monde entier.
  • Lisez la fiche d'information suivante pour en savoir plus.

EKRM_Factsheet_Layperson_DE_STI.pdf

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_HIV-AIDS.pdf

  • Geschlechtskrankheiten sind ein weltweit verbreitetes Gesundheitsproblem und können durch Prävention, regelmässiges Testen und Behandlung in den Griff bekommen werden.
  • Das Wissen um Risiken sowie Safer-Sex-Praktiken inklusive Kondomgebrauch sind wichtig. Falls Sie mehr dazu erfahren wollen, wie Sie sich während der Reise optimal schützen können, besprechen Sie dies mit einer Fachperson.
  • Hatten Sie eine Risikosituation, ist es wichtig mit einer Fachperson so rasch wie möglich Rücksprache zu halten, um zu erörtern, ob eine HIV-Post-Expositions-Prophylaxe (PEP) durchgeführt werden soll, um eine Ansteckung mit HIV zu verhindern.
  • Im Nachgang einer Risikosituation ist es wichtig sich auf Geschlechtskrankheiten testen zu lassen. Auch dann, wenn Sie keine Symptome haben.
Reisende, die Gelegenheitssex haben, sind einem erhöhten Risiko ausgesetzt, sich mit sexuell übertragbaren Infektionen, sogenannten Sexually Transmitted Infections (STIs), einschliesslich HIV, anzustecken. Ein Auslandaufenthalt, wobei man auch neue Menschen kennen lernt, kann damit verbunden sein, sich anders zu verhalten und mehr Risiken einzugehen, als man dies zu Hause tun würde. Es ist wichtig daran zu denken, dass ungeschützter Sex und mehrere neue Sexualpartner ein Risiko für Geschlechtskrankheiten darstellen. Geschlechtskrankheiten können unter Umständen schwere Komplikationen verursachen und zudem auf weitere Partner*innen übertragen werden, sofern diese nicht rechtzeitig bemerkt und behandelt werden. Sind Sie nicht sicher, ob es sich um eine Risikosituation handelt, dann hilft der 'Risk-Check' von Love Live weiter.
Geschlechtskrankheiten sind Infektionen, die durch sexuellen Kontakt (vaginaler, analer oder oraler Sex) übertragen werden. Sie werden durch mehr als 30 verschiedene Bakterien, Viren oder Parasiten verursacht, die in oder auf Ihrem Körper vorkommen. Es ist auch möglich, dass gleichzeitig mehr als eine STI gleichzeitig übertragen wird. Einige bedeutendsten STIs sind HIV (Informationsblatt HIV-AIDS), Hepatitis B, das humane Papillomavirus (HPV), Herpes simplex (HSV), Syphilis, Chlamydien und Gonorrhö.
Geschlechtskrankheiten treten weltweit auf und können jeden und jede treffen, unabhängig von Alter, Geschlecht oder auch der sexuellen Orientierung. STIs kommen in vielen Ländern mit schwächerem Gesundheitssystem häufiger vor.
Geschlechtskrankheiten werden in der Regel durch ungeschützten vaginalen, oralen oder analen Geschlechtsverkehr übertragen. Sie können aber auch durch andere intime Kontakte weitergegeben werden, wie z. B. Herpes und HPV, die durch Hautkontakt/Küssen übertragen werden. Andere können auch auf nicht sexuellem Wege übertragen werden, z.B. über Blut. Viele Geschlechtskrankheiten - darunter Syphilis, Hepatitis B, HIV, Chlamydien, Tripper, Herpes und HPV - können auch während der Schwangerschaft und bei der Geburt von der Mutter auf das Kind übertragen werden.
  • Brennen oder Juckreiz im Genitalbereich
  • Schmerzhaftes oder häufiges Wasserlösen oder auch Schmerzen im Unterleib
  • Ungewöhnlicher Ausfluss aus dem Penis oder der Vagina
  • Wunden, Rötungen, Bläschen im Mund/Lippen oder Genitalbereich sowie Warzen im Intimbereich
  • Manchmal auch Fieber (eher selten)

Wichtig: Eine STI kann auch ohne oder mit nur leichten Symptomen auftreten. Auch wenn Sie sich dessen nicht bewusst sind, können Sie andere anstecken. Deshalb ist es wichtig sich testen zu lassen.

Geschlechtskrankheiten können bei einer körperlichen Untersuchung oder durch die Untersuchung von Urin, einer Wunde, eines Bläschens oder eines Abstrichs aus der Vagina, dem Penis oder dem Anus diagnostiziert werden. Bluttests können bei der Diagnose helfen. Auch wenn Sie keine Symptome haben, sollten Sie mit ihrer Ärztin, ihrem Arzt sprechen, wenn Sie im Ausland ungeschützten Geschlechtsverkehr hatten. Denn eine frühzeitige Erkennung und Behandlung ist wichtig, um eine Errergerübertragung und Komplikationen durch unbehandelte STIs zu verhindern.
Viele Geschlechtskrankheiten sind heilbar, andere wie z.B. HIV jedoch nicht und bedeuten, dass lebenslang Medikamente eingenommen werden müssen, damit es nicht zu Komplikationen kommt. Beispielsweise können mit Antibiotika bakteriell verursachte STIs geheilt werden. Eine frühzeitige Behandlung verringert zudem das Risiko von Komplikationen. Denn unbehandelt können einige STIs langfristig unter Umständen zu Gesundheitsproblemen führen, wie z.B. zu Unfruchtbarkeit, Geburtskomplikationen und einigen Arten von Krebs. Wenn eine schwangere Frau eine STI hat, kann dies zu Gesundheitsproblemen beim Baby führen. Auch Sexualpartner sollten gleichzeitig behandelt werden, um eine erneute Infektion zu verhindern (Ping-Pong-Übertragung).
  • Beachten Sie die Safer Sex Regeln von Love Live. Dazu gehört auch bei jedem Anal- oder Vaginalverkehr Kondome zu verwenden.
  • Denken Sie daran, dass es bei Oralverkehr auch zu Übertragungen von STIs kommen kann.  
  • Lassen Sie sich impfen! Es gibt Impfstoffe zum Schutz vor HPV, Hepatitis A und Hepatitis B.
  • Hatten Sie eine Risikosituation, ist es wichtig mit einer Fachperson so rasch wie möglich Rücksprache zu halten, um zu erörtern, ob eine HIV-Post-Expositions-Prophylaxe (PEP) durchgeführt werden soll, um eine HIV-Infektion zu verhindern. Am wirksamsten ist eine HIV-PEP innerhalb weniger Stunden danach.
  • Es gibt auch weitere Präventionsmassnahmen für spezielle Situationen (Präexpositionsprophylaxe HIV-PrEP). Sprechen Sie mit einer damit erfahrenen Fachperson vor Abreise darüber.
  • Denken Sie daran, dass Alkohol oder Drogen zu erhöhtem Risikoverhalten führen.
  • Denken Sie daran, dass Sie eine weitere Person/bekannter Partner*in bei ungeschütztem Sex anstecken können, sofern bei Ihnen eine unbehandelte STI vorliegt.
  • Menschen mit einer neu diagnostizierten STI sind angehalten ihre früheren Sexualpartner*innen zu informieren, damit auch sie behandelt werden können.

Durch Bakterien oder Parasiten hervorgerufen
Alle diese Krankheiten können geheilt werden. Wichtig ist dabei, frühzeitig zu testen und umgehend zu therapieren, um Komplikationen und v.a. weitere Übertragungen zu vermeiden.

  • Syphilis
    Auch bekannt als Lues. Sie wird durch das Bakterium Treponema pallidum verursacht. Das erste Anzeichen ist eine schmerzlose Wunde an den Genitalien, im Mund, auf der Haut oder im Rektum, die hochgradig ansteckend ist und nach 3 bis 6 Wochen spontan abklingt. Da diese schmerzlos ist, nehmen nicht alle Patienten*innen diese Läsion wahr. Oft heilt diese Infektion jedoch nicht von selbst aus. In der zweiten Phase können Hautausschlag, Halsschmerzen und Muskelschmerzen auftreten. Unbehandelt kann die Krankheit im Verborgenen (latent) bleiben, ohne dass Symptome auftreten. Etwa ein Drittel der Infizierten mit unbehandelter Syphilis entwickelt im Verlauf Komplikationen. Diese Spätform wird als  sogenannt tertiäre Syphilis bezeichnet . In diesem Stadium kann die Krankheit alle Organe befallen: am häufigsten das Gehirn, die Nerven und die Augen. Die Infektion kann während der Schwangerschaft auf den Fötus und bei der Geburt auf das Kind übertragen werden.

  • Chlamydia trachomatis
    Chlamydien können ungewöhnlichen Ausfluss aus dem Penis oder der Vagina, Unbehagen beim Wasserlösen und Unterleibsschmerzen verursachen. Oft treten keine Symptome auf. Unbehandelt können sie zu Unfruchtbarkeit führen und die Krankheit kann auf Sexualpartner*innen übertragen werden. Die Bakterien können auch während der Schwangerschaft auf den Fötus, oder während der Geburt auf das Kind übertragen werden und Augeninfektionen oder Lungenentzündungen verursachen.

  • Gonorrhoe
    Auch bekannt als Tripper. Zu den häufigsten Symptomen gehören Ausfluss aus der Vagina oder dem Penis und schmerzhaftes Wasserlassen. Symptome müssen aber nicht immer auftreten. Sowohl bei Männern als auch bei Frauen kann Gonorrhoe auch den Mund, den Rachen, die Augen und den Anus infizieren und sich auf das Blut und die Gelenke ausbreiten, wo sie in eine schwere Krankheit übergehen kann. Bleibt sie unbehandelt, kann sie eine Beckenentzündung verursachen, die zu chronischen Beckenschmerzen und Unfruchtbarkeit führen kann. Die Krankheit kann während der Schwangerschaft auf den Fötus übertragen werden.

  • Weitere bakterielle STIs: Mykoplasmen und Ureaplasmen. Diese können ebenfalls behandelt werden.

  • Trichomoniasis
    Sie wird durch einen Parasiten verursacht, der mit einer einzigen Dosis eines Antibiotikums behandelt werden kann. Trichomoniasis kann bei Frauen einen übel riechenden Scheidenausfluss, Juckreiz im Genitalbereich und schmerzhaftes Wasserlassen verursachen. Bei Männern treten in der Regel weniger oder keine Symptome auf. Zu den Komplikationen gehört das Risiko einer vorzeitigen Entbindung bei schwangeren Frauen. Um eine Reinfektion zu verhindern, sollten beide Sexualpartner behandelt werden.

Durch Viren hervorgerufen

  • HIV/AIDS - siehe Informationsblatt HIV-AIDS

  • Herpes simplex Virus
    Im Lippen-Mundbereich, auch bekannt als Fieberbläschen, ist nicht heilbar. Herpes kann aber mit Medikamenten bei akuten Beschwerden kontrolliert werden. Die Symptome sind in der Regel schmerzhafte, wässrige Hautbläschen und finden sich an oder um die Genitalien, den Anus oder den Mund. Nach der Erstinfektion ruht das Virus im Körper und die Symptome können über Jahre hinweg wieder auftreten. Schwangere Frauen können die Infektion an ihre Neugeborenen weitergeben, was zu einer bedrohlichen Infektion führen kann.

  • Virale Hepatitis (siehe auch Hepatitis Schweiz)
    • Hepatitis A (HAV)
      Hepatitis A ist eine durch Impfung vermeidbare Leberinfektion, die durch das Hepatitis-A-Virus verursacht wird. Das Hepatitis-A-Virus findet sich im Stuhl und im Blut infizierter Personen. Hepatitis A kann durch verunreinigtes Wasser und Lebensmittel sowie bei anal-oralen sexuellen Aktivitäten übertragen werden. Die Patienten*innen leiden an einer akuten und oft schweren Erkrankung, erholen sich aber allermeist spontan.
    • Hepatitis B (HBV)
      Das Hepatitis-B-Virus wird durch sexuelle Kontakte sowie durch den Kontakt mit anderen Körperflüssigkeiten, wie z.B. Blut, übertragen. Zur Übertragung kann es z.B. auch bei medizinischen Eingriffen oder Brennen eines Tatoos unter nicht optimalen hygienischen Bedingungen kommen. Hepatitis B kann eine schwere Leberinfektion verursachen, die sowohl zu einer sofortigen Erkrankung, als auch zu einer lebenslang andauernden Infektion führen kann mit möglicher Folge einer dauerhaften Lebervernarbung (Zirrhose) und Krebs. Schwangere Frauen mit Hepatitis B können das Virus während der Geburt auf ihr Kind übertragen. Zu Beginn der Infektion haben Sie möglicherweise keine Symptome.  Das Virus kann auf Sexualpartner*innen übertragen werden. Hepatitis B kann mit antiviralen Medikamenten behandelt werden, ist aber nur selten heilbar. Eine Impfung kann eine Hepatitis-B-Infektion verhindern.
    • Hepatitis C (HCV)
      In den meisten Fällen wird Hepatitis C durch den Kontakt mit infiziertem Blut übertragen. Seltener kann es durch analen Sexualkontakt oder von der Mutter auf das Kind während der Schwangerschaft und Geburt übertragen werden. Die meisten Infizierten sind sich ihrer Infektion nicht bewusst, weil sie keine Symptome entwickeln, aber diese chronische Infektion kann zu Leberzirrhose und Krebs führen. Hepatitis C kann behandelt werden, eine Impfung gibt es nicht.

  • Humanes Papillomavirus (HPV)
    HPV ist die häufigste Geschlechtskrankheit. Es gibt eine Vielzahl verschiedener HPV-Typen, und einige von ihnen können Genital-, Anal- und Mundwarzen sowie Gebärmutterhals-, Penis- oder Rachenkrebs verursachen. Die Symptome können auch noch Jahre nach dem Sex mit einer infizierten Person auftreten. Zwei verfügbare Impfstoffe schützen gegen die wichtigsten HPV-Typen, die Gebärmutterhals-, Penis- oder Analkrebs verursachen.

  • Zika - siehe Informationsblatt Zika
    In den meisten Fällen wird es vor allem durch Stechmücken übertragen. Es kann aber auch sexuell übertragen werden. Eine Ansteckung mit Zika während der Schwangerschaft kann bei dem sich entwickelnden Fötus Geburtsfehler wie Mikrozephalie (kleiner Kopf mit neurologischen Ausfällen) verursachen. Die einzige Möglichkeit, eine sexuelle Übertragung des Virus während der Schwangerschaft zu verhindern, besteht darin, Vorsichtsmassnahmen (Kondome) zu treffen oder Sex (mindestens 2 Monate nach der Rückkehr) mit jemandem zu vermeiden, der kürzlich in ein Risikogebiet gereist ist, auch wenn der Reisende keine Symptome hat.
  • Love Life: www.lovelife.ch 
  • Sexuelle Gesundheit Schweiz: www.sexuelle-gesundheit.ch 
  • Hepatitis Schweiz: https://hepatitis-schweiz.ch/formen/was-ist-hepatitis 
  • World Health Organization (WHO). Factsheets. Sexually transmitted infections (STIs). 14 June 2019:
    www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/sexually-transmitted-infections-(stis) 
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Factsheet: Information for Teens and Young Adults: Staying Healthy and Preventing STDs (2017): www.cdc.gov/std/life-stages-populations/stdfact-teens.htm 
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC). How You Can Prevent Sexually Transmitted Diseases: www.cdc.gov/std/prevention/ 
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC) Sexual Transmission and Prevention. Zika Virus: www.cdc.gov/zika/prevention/protect-yourself-during-sex.html 
  • Centers for Disease Control and Prevention (CDC) Zika and Pregnancy; Pregnant Women and Zika (March 2021): www.cdc.gov/pregnancy/zika/protect-yourself.html 
  
 
 

Il existe un risque de maladies transmises par des arthropodes autres que le paludisme, la dengue, le chikungunya ou le zika dans les régions subtropicales et dans certaines régions d'Europe du Sud. Il s'agit notamment des maladies suivantes [et de leurs vecteurs] :

  • en Europe
    o Borréliose, FSME (= encéphalite à tiques), rickettsiose [tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
  • en Afrique
    o Rickettsioses, en particulier la fièvre africaine à tique [tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Trypanosomiase africaine = maladie du sommeil [mouches tsé-tsé]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
  • en Asie
    o Typhus des broussailles [mites]
    o Rickettsiose [puces ou tiques]
    o Leishmaniose [phlébotomes]
    o Fièvre du Nil occidental [moustiques]
    o Fièvre hémorragique de Crimée-Congo [tiques]
  • en Amérique du Nord et en Amérique latine 
    o Rickettsioses, en particulier la fièvre boutonneuse des Montagnes Rocheuses [tiques]
    o Leishmaniose et maladie de Carrion [phlébotomes]
    o Trypanosomiase américaine = maladie de Chagas [punaises triatomes]
    o La fièvre du Nil occidental [moustiques]

EKRM_Factsheet_Layperson_FR_Mosquito-and-tick-bite-protection.pdf

 
  
 
 
 
  • Il existe d'autres risques de santé importants liés aux voyages, tels que la diarrhée, les problèmes liés au trafic, la plongée, la pollution atmosphérique, etc.
  • Pour plus d'informations, voir les conseils de santé sous "Voyager sain".

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    Socinstrasse 55, Postfach, 4002 Basel

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